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Vision sociétale et politique
30 septembre 2016

Contre le financement public des mosquées et pour le respect de la laïcité et de l'unité nationale

Il est devenu courant pour des mairies de gauche de financer la construction de mosquées, et donc l'islamisation de la société par ces bâtiments, autant de symboles qui transforment l'architecture de la France.

Ce fait est complètement contraire à la laïcité et me choque profondément.

LE MENSONGE ou LA SOURNOISERIE

La plupart du temps, ces financements sont cachés dans un mensonge éhonté en les faisant passer pour des financements "culturels" plutôt que "cultuels". 

L'INEQUITE

Il y a une inégalité de fait à favoriser la religion musulmane ou détriment d'autres religions moins revendicatrices (cf. les prières de rue organisées dans le 18e arrondissement de Paris).

- Je suis bouddhiste et je n'ai jamais vu de financement public de centres bouddhistes ou de centres de méditation bouddhistes.

- De même, pour les cantines scolaires, les "aménagements de menus" sans porc pour les musulmans n'existent pas pour les bouddhistes ou hindouïstes végétariens.

- L'abattage halal des animaux est de plus contraire à une préoccupation éthique de réduire autant que possible la douleur de ces êtres vivants.

CONTRE LE DROIT DU PLUS FORT

Pourquoi ces différences entre religions. Ces aménagements ont lieu sous la pression de certains. C'est le droit du plus fort. Les élus politiques s'y plient par idéologie, pour ne pas faire de vagues ou par clientélisme. Bref, c'est donner raison à ceux qui crient plus fort, à ceux qui veulent imposer leurs idées par la force. Est-ce vraiment cela une démocratie intelligente ???

FAVORISER L'UNITE PLUTOT QUE LES PARTICULARISMES QUI DIVISENT

Je pourrais continuer ainsi les exemples mais on voit bien que tous ces aménagements particularistes sont de nature à diviser profondément la société française en communautarismes sans culture commune pour maintenir l'unité d'une nation comme la France.

S'il n'y a plus ces principes républicains, qu'est-ce qu'il reste pour la "nation" française ? Sa langue (la langue française) ?  Celle-ci est aussi mise à mal, soit dit en passant, par le financement public des cultures régionales, elles aussi facteur de division de la société. Le respect des libertés doit pouvoir être un prinicipe limité par le respect de l'unité de la nation.

LA VIOLATION DE L'ARTICLE 1er DE LA CONSTITUTION FRANCAISE

Rappelons-le, l'article 1er de la Constitution -le plus important donc- nous assure que "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances". La construction de mosquées me semble violer la Constitution, et pas seulement la loi de 1905 toujours citée relative à la séparation des Eglises et de l'Etat.

LES MAIRIES ET LES MAIRES IMPLIQUES

Comme tout cela se fait de façon sournoise, en contournant la loi par des financements dits "culturels", il est bon de faire savoir qui contourne impunément ainsi le 1er article de notre constitution, fondatrice de notre république.

Le site islamisation.fr a entrepris de recenser les mairies qui financent les mosquées ou qui offrent des terrains à des prix dérisoires. L’observatoire de l’islamisation a pu recenser la plupart des grandes mairies françaises qui aident au financement des mosquées. Elles sont 80. Parmi elles 40 mairies PS, 25 mairies UMP, les 15 dernières étant partagées entre le Front de Gauche, le parti radical de Gauche, l’UDI et le Modem. Elles agissent toutes en contravention de la loi de 1905 sur la laïcité, en la tournant souvent par le biais d’associations culturelles ou de manipulation du prix des terrains·

 

L'observatoire des gaspillages dénonce ainsi certains maires, dont Alain Juppé, ce qui donne une idée du candidat à la primaire de la droite :

Ainsi Alain Juppé, maire de Bordeaux, a-t-il pris la décision d’accorder à l’association des musulmans de Gironde (AMG), un terrain de 8 500 m2 pour y construire une mosquée. Prix : un euro symbolique. Si l’AMG avait voulu l’acheter au prix du marché, elle aurait dû débourser 677 000 euros. Précisons au passage que l’AMG est membre de l’UOIF, association connue pour son interprétation fondamentaliste de l’.

Le projet ? Ce sera un complexe cultuel et culturel, précise la mairie, avec salle de prière, cafétéria, centre culturel, amphithéâtre, bibliothèque, salles de classe…. Le maire de Bordeaux se vante d’avoir « d’excellentes relations » avec les « principaux leaders » de la communauté musulmane de Bordeaux. On les comprend.

A Marseille, le maire UMP Jean-Claude Gaudin a tenté d’utiliser la même procédure : il voulait mettre à la disposition des musulmans un terrain de 8 600 m2 pour un de… 300 euros par an. Alors que le prix du marché était de 4 400 euros. Délibération annulée en avril 2007, à la suite d’une action en justice intentée par le MNR, le MPF et le FN.

La méthode employée, a souligné le Tribunal administratif de Marseille, était une entorse à la loi de 1905 et donc une subvention déguisée. « La loi de 1905, même s’il est admis qu’il ne faut pas y toucher, est particulièrement injuste », a commenté monsieur le Maire.

Mais la victoire juridique de 2007 n’aura fait que retarder l’échéance. La ville a réajusté le tir, faisant passer son loyer de 300 euros à 24 000 euros annuels, et le bail de 99 ans à 50 ans. La mosquée va bel et bien voir le jour.

Le conseil général des Bouches du Rhône (PS) quant à lui, n’a pas donné une « subvention déguisée » à l’Institut méditerranéen d’études musulmanes, mais une vraie, en espèces sonnantes et trébuchantes, de 7 500 euros. Pour l’heure aucune association n’a cru bon de porter plainte.

Pour couronner le tout, la mairie de Marseille finance chaque année la fête de l’Aïd el Kébir, en union de prières avec le conseil général des Bouches-du-Rhône et la région Provence Alpes Côte d’Azur.

A Massy, dans l’Essonne, le terrain n’est pas cher non plus. La mairie, dirigé par Vincent Delahaye (Modem) a cédé une parcelle de 3 200 m2 pour 100 000 euros à l’association des musulmans locale, soit 32 euros le mètre carré. La ville prend également à sa charge la dépollution du terrain, qui permettra l’érection d’une mosquée monumentale avec .

Non loin de là, à Epinay-sur-Seine, le maire Hervé Chevreau (ex Modem) a inauguré, en avril 2009, un centre de 1 400 places que la Ville finance elle-même (2 millions d’euros). « Officiellement il s’agit d’une salle polyvalente mise à la disposition d’une association. En réalité la structure sert de mosquée », relate le quotidien 20 Minutes dans un article intitulé : « Obligé de tricher pour bâtir des mosquées ».

« C’est donc bien une subvention déguisée, a admis Hamid Bou Shaki, président de l’association IMS (intégration musulmane spinassienne), mais on le fait déjà pour les synagogues. Pourquoi y aurait-il deux poids deux mesures ? » L’argument, de fait, est imparable.

La marée de touche toutes les régions, toutes les communes, toutes les couleurs politiques.

En juillet 2006, Jean-Marie Bockel, alors maire de Mulhouse (ex PS, aujourd’hui Gauche moderne), promet une subvention pour l’achat d’un terrain de 4 500 m2 à l’association des musulmans d’Alsace (AMAL) pour y accueillir une mosquée géante avec minaret. Promesse tenue le 15 septembre 2008, avec une subvention de 235 000 euros. Là encore, la loi de 1905 est violée.

Poursuivons.

François Grosdidier, député maire UMP de Woippy, en Moselle, a financé un grand « centre culturel islamique », à hauteur de trois millions d’euros ; ce centre accueille, depuis septembre 2008, 1800 fidèles.

En 2004, Fabienne Keller (UMP) a posé la première pierre de la grande mosquée de Strasbourg qui a coûté 6 millions d’euros aux habitants de la ville.

, maire PS de Créteil (Val de Marne), et la Région d’Ile-de-France ont déboursé un million d’euros pour financer les « espaces culturels » d’une mosquée qui a ouvert ses portes en décembre 2008.

Le 30 juin 2007, à Givors, le député UMP du Rhône Georges Fenech a posé la première pierre de la mosquée Khaled Ibn El Walid. Le terrain avait été vendu par la mairie communiste à l’association musulmane locale pour… 22 euros le mètre carré. Ce qui n’a pas empêché Georges Fenech de se faire battre aux municipales de 2008 par le maire sortant Martial Passi (PCF).

Quant à Bertrand Delanoë, qu’on ne présente pas, il ne sait plus quoi faire pour se mettre bien avec son électorat . Depuis 2005, chaque année, il fête la rupture du ramadan avec forces loukoums, dattes et chorba – en 2008, comme l’Hôtel de ville n’était pas assez grand, il a loué le palais omnisports de Paris Bercy.

Le 19 octobre 2006, le maire parisien a inauguré le futur « institut des cultures d’islam », qui ouvrira bientôt ses portes dans le 18e arrondissement. « Cultures d’islam » ? Que les religieux se rassurent : il y aura bien des « salles dédiées à l’exercice du culte », rappelle le site www.paris.fr. Ce projet va coûter 20 millions aux Parisiens.

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